Gestion Santé

Retourner à la liste des sujets traités.

 

CODEX ALIMENTARIUS – EXCLUSIF

Traduction par Emma Holister avec l'assistance de Jacques Valentin

L'information suivante a été diffusée par l’ANH le 27 Octobre 2006.  Si vous souhaitez  recevoir  régulièrement  des informations de l’ANH en anglais , cliquez ici.

 Novembre s’approche et une réunion d’importance critique du Comité sur la nutrition du Codex commence la semaine prochaine. C’est là que se décident les détails des lignes directrices internationales qui gouvernent les aliments et les compléments alimentaires. L’objectif de ces réunions est que les lignes directrices soient adoptées par le plus grand nombre de nations membres possible.  Elles sont censées garantir que les gens sont protégés de façon adéquate et en même temps elles visent à faciliter le commerce entre les nations. Cela vous semble raisonnable? Eh bien non, cela ne l’est pas.  Découvrez pourquoi en lisant la suite.

Cet article tentera d’expliquer ce qu’est le Codex et son lien avec la santé naturelle car il y a tellement de vues différentes diffusées sur le sujet que la confusion règne. Nous avons utilisé des termes simples et nous espérons que cela rendra le sujet plus accessible à un large public.

Veuillez envoyer  cet article à ceux qui s’intéressent au sujet, et si vous connaissez des sites Web qui  aimeraient le publier nous en serions ravis. Veuillez tout simplement l’attribuer à l’Alliance for Natural Health.

 De l’Allemagne jusqu’au Triangle d’Or

Après des années passées à se réunir à Bonn en Allemagne, le pays qui est à l’origine des mesures ultra-précautionneuses dans le domaine de la nutrition, cette prochaine réunion du Comité de Codex a été déplacée jusqu’à Chiang Mai en Thaïlande du nord – le cœur de ce qu’on appelle le Triangle d’Or. Nous allons observer de près les statistiques de participation pour voir s’il y aura une diminution de la présence des plus petits pays, notamment les pays africains. Si c’est le cas, cela sera sans doute le résultat des coûts élevés du voyage à une réunion en Thaïlande. Quelques délégués avaient déjà exprimé leur souci à la fin de la réunion dernière à Bonn en novembre, quand a été annoncée la nouvelle destination pour la prochaine réunion. N’oublions pas que quelques uns de ces petits pays s’intéressent de plus en plus aux interventions nutritionnelles pour la santé publique, compte tenu du coût élevé des produits pharmaceutiques. Ils s'intéressent donc à s’assurer que les lignes directrices du Codex ne vont pas écraser tous les nutriments, au point où leurs dosages deviendraient si bas qu’ils perdraient toute valeur thérapeutique. On espère que ce rétrécissement de la participation n'était pas l’une des raisons de la relocalisation de la réunion…

La National Health Federation (la Fédération Nationale de la Santé), la seule organisation pour la liberté thérapeutique ayant un statut de délégué au Codex, envoie cette année une délégation de trois membres comprenant Ingrid Franzon (Suède), le Dr Robert Verkerk (de l’ANH, basée au Royaume Unie) et le Dr Wong Ang Peng (Malaisie).

Pour comprendre l’importance du Codex

Une grande quantité d’information a été écrite et discutée par rapport à la signification des lignes directrices du Codex. La FDA aux Etats-Unis et quelques associations de commerce dans le domaine de la santé naturelle maintiennent que Codex n’aura aucun effet sur les nutriments vendus aux Etats-Unis, et affectera seulement les exportations vers les pays qui décident d’adopter les lignes directrices du Codex, comme l’Europe et plusieurs pays africains et asiatiques. Cette conception a été renforcée par un certain nombre d’expertises juridiques qui se sont intéressées à la question de savoir si les lignes directrices du Codex ont un effet juridique contraignant pour les Etats-Unis.

Ces expertises juridiques ont complètement échoué pour ce qui est de comprendre  les effets potentiels du Codex dans les domaines politiques, économiques et sociaux.  Ceci provient probablement de ce que les avocats sont payés pour se focaliser sur des questions juridiques et ils centrent donc inévitablement leurs avis sur les questions très spécifiques qui leurs sont posés. Ces dernières expertises ont donc eu tendance à être limitées à la question de la nature obligatoire ou non des lignes directrices du Codex, ainsi que sur l’effet potentiel d’une dispute de commerce rendue au siège de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

Déchiffrer  le Codex – clarifions les enjeux

Dans cet article nous n'allons pas aborder les détails de la manière dont le Codex ou l’OMC fonctionnent, ou comment, à notre avis, le Codex représente une menace immense pour la disponibilité à long terme des nutriments thérapeutiques pour les  consommateurs partout dans le monde. Mais vue la quantité considérable d’informations parfois contradictoires qui existent sur Internet, nous croyons que c’est important de regarder quelques uns des faits de base qui permettent de dresser un tableau inquiétant du rôle du Codex en ce qui concerne notre droit à l'auto-traitement et notre capacité à nous soigner nous-mêmes et à gérer librement notre santé – si c'est ce que nous souhaitons à titre personnel – indépendamment du contrôle de l’industrie pharmaceutique. Voici les éléments principaux de la situation actuelle :

  ·         Les lignes directrices de Codex sont en train d’être appliquées, d'abord aux dosages maximum des vitamines et minéraux, mais elles seront selon toute probabilité appliquées ensuite aux ingrédients et dosages d’autres catégories de nutriments dans l’avenir, tout comme la Directive sur les Compléments Alimentaires de l’Union Européenne est en train de le faire à travers l’Europe.

·         Les lignes directrices de Codex sont contrôlées par l’Union Européenne plus que par aucun autre pays car les Etats membres de l’Europe sont d’accord pour voter en bloc  avec la Commission Européenne non élue qui est le principal dirigeant de la législation ultra-restrictive en Europe (de cette manière l’Europe fournit 25 votes, contre une, par exemple, pour les Etats-Unis).

·         Les lignes directrices du Codex sur les compléments alimentaires en vitamines et minéraux contiennent des similitudes remarquables avec  la Directive sur les Compléments Alimentaires de l’Union Européenne. Alors, vue l’étendue du contrôle de la Commission Européenne, les lignes directrices de Codex sont visiblement un mécanisme qui sert à exporter des lois européennes restrictives sur les compléments alimentaires au monde entier.

·         Les lignes directrices de Codex sur les compléments alimentaires en vitamines et minéraux utilisent « l’estimation scientifique du risque » comme moyen pour établir des dosages maximum, ce qui servira à définir, en fin de compte, sur le plan international, la frontière entre les dosages alimentaires et les dosages médicaux. Ceci n’est pas une bonne nouvelle car nous avons déjà précédemment :

            prouvé clairement que la méthode de l’évaluation du risque utilisée est profondément défectueuse et qu’ainsi elle sous-estime fréquemment, et de façon massive les dosages maximum de sécurité. Bien que quelques uns dans l’industrie des produits naturels aient célébrés l’avancée vers « l’estimation scientifique du risque » qu’ils voyaient comme une victoire contre les niveaux maximum basés sur l’Apport Recommandé Quotidien, en vérité cette nouvelle science est orientée de manière à donner des résultats qui ne diffèrent qu'à peine des approches basées sur l’ARQ, et qui dans quelques cas sont même moins favorables.

·         Même si on n’impose pas des sanctions suite à une dispute de commerce à l’OMC, les effets politiques, économiques et sociaux des lignes directrices du Codex, qui sont développées et reconnues internationalement, sont suffisantes pour persuader à la longue la grande majorité des pays de se mettre en conformité avec le Codex. Ceci n’arrivera pas demain, ni même l’année prochaine. Les lignes directrices sur les vitamines et minéraux ne seront pas complétées avant environ les alentour de 2012 ou 2013. Ainsi ils nous accordent beaucoup de temps pour nous ajuster au nouveau régime qui tentera de nous priver de notre droit de consommer des nutriments qui ont été par ailleurs systématiquement réduits dans notre alimentation habituelle.

 Des îles, ou de l’harmonisation et de la manipulation

 Les Etats-Unis sont unanimement reconnus comme étant le centre de la recherche et du développement en matière de médecine nutritionnelle. Pour certains c’est là une généralisation excessive, mais on ne peut nier que le fait que les Etats-Unis puissent continuer à faire croître et développer leur industrie des produits naturels est un élément important pour pouvoir aider, parmi d’autres choses, à alimenter la recherche dans ce domaine.

Dans le meilleur des cas, les entreprises américaines devront s’adapter à un système constitué en deux étages, où ils devraient vendre à l'intérieur des Etats-Unis des produits naturels contenant des dosages élevés qui sont thérapeutiquement actifs, tout en exportant des produits à dosage réduits à la majorité des pays du monde qui se conformeront au Codex. C’est ce qui est proposé par la FDA [NDT : l'agence de régulation des aliments et des médicaments aux USA] et quelques unes des grandes organisations de commerce de produits naturels telles que IADSA, l'International Alliance for Dietary Supplement Associations [NDT : En France SYNADIET et la FFD les deux principaux syndicats de fabricants et distributeurs de produits diététiques, naturels et de compléments alimentaires sont affiliés à IADSA], le Council for Responsible Nutrition (CRN) et la Natural Products Association (NPA, antérieurement nommée la National Nutritional Foods Association [NNFA]). Cette idée exalte « la mentalité de l’île » -  c’est-à-dire qu’il n’y aurait pas de problème… si son île pouvait exister indépendamment des autres sans dépendre des influences extérieures – mais c’est très rarement le cas.

En fait, les Etats-Unis essaient énergiquement d'agrandir leur territoire en matière de commerce harmonisé par le moyen de quelques accords de commerce, tel que l’Accord du Commerce Libre de l’Amérique Centrale (Central American Free Trade Agreement - CAFTA), l’Accord du Commerce Libre de L’Amérique du Nord (North American Free Trade Agreement - NAFTA) et « le mastodonte » Accord du Commerce Libre des Amériques qui est en projet et comprendrait 34 pays (Free Trade Agreement of the Americas - FTAA).  Celui-ci deviendrait le bloc de commerce le plus puissant du monde.

Ces blocs de commerce sont développés dans l’intention exclusive de rendre la vie plus facile pour les gros industriels – afin d’augmenter les profits. On invoque parfois  la protection du consommateur où même de l’environnement comme un objectif secondaire, mais il se révèle à l'examen que de telles préoccupations sont en réalité  inexistantes. Si on examine le cas de l’industrie des produits naturels, qui représente une sorte de petite irritation qui croît régulièrement et dérange de plus en plus la bien plus grande et puissante industrie pharmaceutique, vous vous apercevrez qu’on invoque l’idée de la protection de l’individu comme un prétexte pour faire disparaître  les dosages et les formulations efficaces des produits naturels en diminuant ces dosages jusqu'à les rendre quasiment inefficaces.

Quand beaucoup de pays font parti d’un bloc commercial, la tendance naturelle est de se référer au plus petit commun dénominateur. De cette manière, les pays qui n’ont jamais aimé les produits contenant des dosages élevés ayant une efficacité thérapeutique ne peuvent pas prétendre qu’ils sont obligés d’accepter des produits qui prétendent-ils pourraient être dangereux pour les consommateurs. En même temps, les règlements des blocs de commerce tentent, en général, à déplacer le fardeau de la preuve de la sécurité des produits (l’un des coûts les plus élevés auquel l’industrie pharmaceutique doit faire face pour obtenir les autorisations de mise sur le marché pour les nouveaux médicaments) du gouvernement vers l'industrie, ce qui rend d'un coût prohibitif la mise sur le marché de nouveaux produits sauf pour les plus grosses compagnies.

Pouvez-vous imaginer si on disait à Walmart aux Etats-Unis ou Tesco en Grande Bretagne d’enlever tous les fruits et légumes en vente, jusqu’au jour où ils pourront prouver qu’ils sont sans danger pour la santé ! Les blocs de commerce obligent en effet l’industrie des produits naturels à se conformer à un mécanisme de pré-autorisation de mise sur le marché. Ceci impose un régime qui ressemble de plus en plus à celui des autorisations de mise sur le marché des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Et les médicaments, sont-ils pour autant sans danger ?

C’est exactement pour cette raison que l’Union Européenne, un bloc de commerce très puissant de 25 nations, est actuellement en train de tenter de réduire le niveau élevé des nutriments que l'on peut actuellement encore trouver au Royaume Uni, en Suède, en Hollande et en Irlande, pour se conformer aux attitudes régulatrices restrictives qui ont rejeté depuis des années les produits ayant les dosages les plus élevés, surtout dans les pays comme l’Allemagne et la France. Le processus est en cours et les Etats-Unis, tout comme d'autres pays, ne sont pas immunisés par nature contre cette tendance régulatrice !

Les blocs de commerce et les organes vitaux

Utilisons une analogie. Disons que les blocs de commerce tel que l’Union Européenne, des éléments essentiels dans notre économie mondialisée actuelle, sont comme des organes vitaux du corps humain, tel que le cœur, les poumons, le cerveau, le foie ou les reins. En fait, on pourrait dire que l’accord en, projet des Amériques, le FTAA agira plutôt comme le système cardiovasculaire, comprenant le cœur, les poumons et les tuyauteries reliées, compte tenu de sa taille et de sa diversité. Ces blocs commerciaux ont besoin d’être très bien connectés au reste du monde, ou, pour continuer avec notre analogie, au reste du corps, pour pouvoir survivre et prospérer. Ainsi le système cardio-vasculaire doit-il être interconnecté par les systèmes artériels et veineux, avec les parties majeures du système nerveux et, directement ou indirectement, à toutes les autres parties importantes du corps.

Les Etats-Unis, même considérés dans leur état actuel, indépendamment de leur intégration à un bloc de commerce, sont déjà l’un des acteurs principaux du commerce mondial. De ce fait ils ne peuvent déjà plus exister comme une île. Dès qu’ils se seront agrandis en intégrant un bloc de commerce – si les citoyens de cette société réputée démocratique l’autorisent – cette tendance à être influencée par le reste du monde sera encore plus forte. Les Etats-Unis ne sont pas les amygdales ou un appendice qui peuvent être extraits du système sans causer trop d’effets secondaires graves. Tandis que les Etats Unis construisent leur place dans des blocs de commerce toujours grandissants, il deviendra de plus en plus important qu’ils se conforment à l’OMC, au Codex et à d’autres règles crées par les partisans de la « globalisation ».

Nous espérons que cette analogie facilitera la compréhension des raisons pour lesquelles les pressions économiques et politiques qui peuvent être exercées par le Codex, peuvent être encore plus importantes que les pressions juridiques. Ce sont ces pressions qui ne sont pas du tout mentionnées par les avocats qui ont soutenus que les lignes directrices de Codex sont « inoffensives ».  Ceci provient du fait que ces avocats ont œuvré dans le cadre juridique étroit à l’intérieur duquel leur avis avait été sollicité, cadre restrictif probablement choisi de façon délibéré pour avoir un avis conforme aux attentes des donneurs d’ordre. En effet la question typique posée à été du genre « Est-ce que les lignes directrices du Codex sont d’application obligatoire par les Etats-Unis? », tandis que maintenant vous comprendrez d’après ce qui vient d’être expliqué qu’une question telle que : « Quels sont les risques juridiques, politiques ou économiques des lignes directrices de Codex pour le marché américain dès que ces lignes directrices auront été finalisées ? » pourrait donner une réponse fort différente !

La manipulation médiatique

Mais dans cette histoire il y a encore pire.  Sans doute avez- vous remarqué la couverture croissante des sujets concernant la sécurité des produits naturels dans les médias ces dernières années.  Au Royaume Unie, même la BBC nous a gâté avec des titres inquiétants tel que “Risque mortel avec des dosages élevés de vitamine E” à la une. C’était la suite à la méta-analyse de Miller et al. Ou bien “Les pilules de vitamines n’arrêtent pas le cancer qui racontait présentée sous un faux jour l’histoire de l’augmentation du risque de mort prématurée de respectivement 30% et 10% avec d’une part la forme synthétiques du béta-carotène et de la vitamine A ou d’autre part avec de la vitamine E synthétique.

Ces campagnes de presse hostiles aux compléments alimentaires sont orchestrées par des milieux liés à l’industrie pharmaceutique dans le but de monter l’opinion publique contre  les produits de santé naturels et l’auto-traitement. Ils visent également à effrayer les gens pour les détourner des praticiens des médecines complémentaires et à les amener vers la médecine conventionnelle et les produits pharmaceutiques. Des millions sont dépensés pour ces campagnes partout dans le monde et les informations présentées à l’appui sont souvent manifestement dénaturées. Il semble que le grand public ne soit pas dupe car l’intérêt pour les méthodes de santé naturelles continue à se répandre et beaucoup de gens sont déçus de l’éthique, ainsi que par les résultats et les effets secondaires associés aux produits pharmaceutiques.

Notre Directeur Exécutif et Scientifique a récemment donné une conférence ayant pour titre “Le jeu de la médecine complémentaire: à qui la preuve ?” à l’exposition de médecine complémentaire de Londres le week-end dernier où il a abordé le sujet épineux de la preuve scientifique. Si vous voulez télécharger une copie en anglais de sa présentation en PowerPoint cliquez ici (16.5 Mb, attention, dossier lourd).

Nous avons besoin de votre soutien – MAINTENANT!

Nous avons une stratégie détaillée qui s’attaque à plusieurs aspects du Codex et des sujets liés à l’évaluation du risque – et puisque nous sommes financés seulement par les dons, nous avons un besoin vital de votre aide.

Cela nous coûtera plus de 150,000 € (soit US $190,000 ou £100,000) cette année, rien que pour :

·         Etre présent au Codex et à d’autres réunions scientifiques.

·         Compiler et soumettre des rapports majeurs. Cliquez ici pour voir notre dernier rapport en anglais.

·         Expliquer et faire connaître dans les milieux scientifiques, les raisons pour lesquelles les lignes directrices et les règlements ultra-précautionneux, du style du Codex, sont scientifiquement irrationnels et infondés.

·         Aider à développer et promouvoir des nouveaux modèles qui sont scientifiquement rationnels pour l’évaluation du rapport bénéfice / risque des nutriments et d’autres produits de santé naturelle.

·         Coordonner différentes activités avec d’autres organisations pour la liberté thérapeutique, y compris nos partenaires officiels aux Etats-Unis,  l’Association Américaine de la Liberté Thérapeutique / Fondation pour la Liberté Thérapeutique (American Association for Health Freedom / Health Freedom Foundation AAHF / HFF), et la Fédération Nationale de la Santé (National Health Federation - NHF)

·         Poursuivre notre recours légal contre la Directive sur les Compléments Alimentaires de l’Union Européenne.

 Merci de nous FAIRE UN DON MAINTENANT  – Ceci afin de nous aider à vous aider. Sans votre soutient nous ne pourrons pas continuer notre travail.

 Note important pour les citoyens des Etats-Unis: vous pouvez déduire de vos impôts vos dons marqués « Campagne Européenne à la AAHF / HFF. »

En vous souhaitant une bonne santé,

 L’équipe ANH

Qui travaille en votre nom pour protéger et promouvoir la santé naturelle à l’échelle mondiale, en utilisant les meilleures données scientifiques disponibles et en recherchant une législation équitable.

Pour lire la version anglaise originale de ce texte

  © 2006 - ANH Alliance for Natural Health

Sujets liés

Le Codex Alimentarius protège les intérêts de l'industrie et non ceux des individus - encore!

Le compte rendu de la dernière réunion du Codex Alimentarius en 2006 en Malaisie.

Ce site est administré par Jacques Valentin. Tous les articles présentés ici ont pour but de vous inciter à une réflexion ouverte et critique. Je ne suis pas professionnel de santé. Les articles présentant des médicaments, des compléments alimentaires, des aliments, des techniques de bien être et de santé n'ont pas pour but de vous inciter à les utiliser ou à les consommer, ni de se substituer à un avis médical autorisé! Les informations disponibles sur le site peuvent comporter des erreurs, des lacunes ou des omissions et ne visent pas à l'exhaustivité; merci d'en tenir compte lors de votre lecture. D'une façon générale, je ne peux que vous inciter à vous documenter, à prendre plusieurs avis et à faire preuve de retenue et de bon sens que ce soit en matière de médecine traditionnelle ou alternative et plus largement pour tout ce qui concerne la gestion de votre santé.

Le contenu de Gestion Santé est sous copyright © 2001 Jacques Valentin (ou autres auteurs suivant indications). Tous droits réservés. Aucune portion de ce site Web ne peut être copiée ou reproduite sans permission expresse. Questions et commentaires sont à adresser à gestionsante@caramail.com

Créé le 13/12/06. Dernière modification le 13/12/06.