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L’affaire du Médiator secoue le monde de la santé et le monde politique français
Depuis plusieurs mois se développe en France un très grave scandale de santé publique, l’affaire du Médiator. Ce médicament des laboratoires Servier dont la molécule active est le Benfluorex a été commercialisé de 1976 à fin 2009. Il était pris par 300 000 personnes environ chaque année en France. Il a été retiré tardivement du marché et après de fortes résistances de la part de l’autorité de régulation française du médicament (Afsaaps) après que des praticiens hospitaliers du CHU de Brest aient démontré qu’il provoquait des valvulopathies cardiaques, une pathologie cardiaque grave pouvant entraîner la mort. En octobre 2009, comme si de rien n’était l’Afsspas autorisait encore des copies (génériques) du Mediator alors que le débat faisait rage en son sein sur la dangerosité du produit et que la décision de retrait était régulièrement repoussée pour intervenir finalement seulement le 12 novembre 2009.
On estime aujourd’hui qu’entre 150 et 250 personnes ont été hospitalisées chaque année en France en lien direct avec la toxicité du Mediator, ce qui aurait entraîné une trentaine de décès par an. Le Mediator multiplierait par un facteur 3 le risque de valvulopathie et par 4 le risque de chirurgie valvulaire. Il existe probablement des milliers de personnes ayant pris le Mediator et ayant des débuts de valvulopathie non diagnostiquée. Il va falloir organiser des examens cardiaques approfondis pour des dizaines de milliers de personnes, ce qui va coûter une fortune à l’assurance maladie.
Compte tenu des liens étroits entre les multinationales du médicament et les différents partis politiques français de droite et de gauche, ainsi qu’avec les médias dominants, ce genre d’affaire est souvent discrètement enterrée. On pouvait aussi penser que ce serait le cas du Mediator, car pendant tout une partie de 2010 l’affaire a semblé oubliée. Mais différents phénomènes ont entravé cette stratégie habituelle d’étouffement.
En avril 2010 le Dr Irène Frachon, qui avait contribué à élucider le lien entre Mediator et valvulopathie, a publié un article scientifique sur la question et surtout fait paraître en juin 2010 un livre intitulé Mediator 150 mg, Combien de morts ? chez un petit éditeur local, les éditions Dialogues. Le laboratoire Servier obtenait en référé à Brest le retrait du sous-titre « Combien de morts? » contraignant l'éditeur à réimprimer toutes les couvertures [Le laboratoire a perdu en appel en 2011]. Cette affaire a commencé à être médiatisée dans la deuxième moitié de 2010. Par ailleurs, contrairement à d’autres médicaments dangereux précédemment retirés, le lien direct entre le Mediator et la valvulopathie, une pathologie très spécifique contraignait l’agence de santé à mener diverses études pour évaluer l’impact sur la santé publique et les mesures à prendre pour le suivi des malades. Le Mediator est très similaire à un autre médicament des laboratoires Servier, l’Isoméride pour lequel des malades et familles poursuivent encore aujourd’hui d’interminables procédures judiciaires pour tenter de se faire indemniser. Cela a contribué à réveiller opinion et médias et à alerter sur la gravité de l’affaire.
Le Mediator fait partie d’une classe de molécules à effet coupe faim proche des amphétamines dont un autre dérivé, l'Isoméride, prescrit massivement, a été retiré du marché en 1997 car il provoquait de l’hypertension artérielle pulmonaire, une affection souvent mortelle. Servier avait réussi a masquer à l’époque les similitudes entre la molécule de l’Isoméride et celle du Mediator et le médicament était resté sur le marché.
Bien que le Mediator soit autorisé en tant que traitement complémentaire au diabète, il n’a jamais pu prouver d’effet thérapeutique spécifique dans cette pathologie. Son effet indirect sur le diabète est pour l’essentiel lié à la diminution de l’appétit. Or les médicaments anorexigènes ont été de longue date retirés du marché car ils sont à l’origine de graves troubles du comportement alimentaire. Le produit n’aurait en fait jamais du être mis sur le marché et il aurait du être retiré du marché en 1997 tant du fait de sa structure chimique que de par son mode d’action. Il est pourtant resté encore 12 ans en vente…
Les signaux d’alerte à propos du Mediator n’ont pourtant pas manqué tant concernant la toxicité que les propriétés thérapeutiques anorexigènes. Celles-ci ont de longue date entraînées des détournements de prescription soulignés dès 1998 par l’Assurance Maladie.
Malgré ces caractéristiques accablantes, le Mediator a continué à être remboursé jusqu’en 2009. Une première révision de l’ensemble des médicaments avait été initiée en 1999 par Martine Aubry, l’actuelle dirigeante du PS français, alors Ministre de l'Emploi et de la Solidarité dans le gouvernement Jospin. Son secrétaire d’Etat à la santé était Bernard Kouchner, qui a depuis quitté le PS pour devenir ministre des affaires étrangères du président Sarkozy et le directeur de cabinet de celui-ci était Martin Hirsch, autre personnalité récupérée par la droite dans le cadre de « l’ouverture à gauche » du président Sarkozy. Aucun d’entre eux n’a gardé de souvenir du Mediator selon leurs déclarations récentes.
Pourtant l’Agence du médicament avait jugé le Service Médical Rendu du Mediator insuffisant en 1999. Mais en France, la prise de décision du remboursement ou du déremboursement d'un médicament est fixé au niveau ministériel ce qui permet de déconnecter l'évaluation scientifique de ses conséquences économiques et commerciales. Le fait de rembourser un médicament reste de ce fait largement un choix politique. Cela aboutit à favoriser outrageusement les produits les plus rentables de l’industrie pharmaceutique, qui sont rarement déremboursés. On dérembourse essentiellement, et selon des critères parfois discutables, des médicaments anciens tombés dans le domaine public et qui n’intéressent plus les plus gros laboratoires. Dans le même temps, on pratique la politique du guichet ouvert pour les innovations même les plus douteuses, sous prétexte de ne pas décourager la recherche menée par les grands laboratoires. Martine Aubry avait donc délibérément choisi à l’époque de favoriser les gros laboratoires pharmaceutiques en confortant cette stratégie ruineuse pour les assurances sociales et dangereuse pour la santé publique. Ainsi, malgré sa réévaluation en Service Médical Insuffisant, et alors que les signaux d’alertes sur le médicament se multipliaient, le Mediator a pu rester sur le marché jusqu’en 2009.
Pour saisir les enjeux, il est important de comprendre que le Mediator n’est pas un cas isolé. Pour prendre le cas du diabète que le Mediator était sensé traiter, on pourrait aussi citer le retrait tardif en 2010 de la rosiglitazone (médicament Avandia et associée à la metformine dans Avandamet), huit ans après son autorisation, suite à des études montrant que la rosiglitazone augmente fortement le risque cardiovasculaire, alors que celui-ci est déjà une des complications habituelle du diabète. La rosiglitazone fait partie d'une classe thérapeutique, les glitazones, où l'on trouve une molécule d’une autre multinationale, la pioglizatone du médicament Actos, toujours sur le marché [retirée finalement du marché le 9 juin 2011, compte tenu du risque de cancer de la vessie associé à la molécule]. Pourtant, comme le rappelait la revue médicale Prescrire en 2008 à propos de ces produits, "Depuis leur autorisation injustifiée en 2002, on n’a toujours pas de preuve d’une efficacité tangible en termes de prévention des complications du diabète, mais la liste des dégâts s’allonge, et les insuffisances cardiaques sont amplement confirmées." Les mêmes problèmes se posent dans toutes les classes de médicaments.
Tous ces faits connus de longue date des spécialistes du médicament et de la haute administration et ont d’ailleurs fait l’objet de nombreux rapports de l’administration et des assemblées parlementaires restés sans suite.
On parle beaucoup en ce moment dans la presse de réformes importantes à venir dans le secteur de l’évaluation du médicament, mais les acteurs politiques susceptibles de les porter sont totalement compromis dans les pires travers du système d’influence de l’industrie pharmaceutique.
C’est dans ce contexte de crise grave du système de santé que les têtes ont valsé début 2011. Le directeur de l’AFSSAPS, Jean Marimbert est contraint à la démission (il avait été nommé dans des conditions détestables en février 2004) et il est remplacé en février par Dominique Maraninchi nommé par le président Sarkozy. En janvier de 2011, le président Sarkozy a aussi nommé à la tête de la HAS, la Haute Autorité de Santé, la principale agence de santé avec l’Afssaps, le Pr. Jean-Luc Harousseau. Un médecin très marqué politiquement et très proche de l’industrie pharmaceutique. Il s’agit en effet de l’ancien président UMP du conseil régional des Pays de la Loire, le parti du président. Après avoir rendu une déclaration de conflit d’intérêt vierge, Harousseau a été contraint de revoir sa copie après un rappel à l’ordre lors de ses auditions aux commissions des Affaires Sociales du Sénat et de l’Assemblée Nationale. Il s’avère, d’après le décompte effectué par le site Pharmacritique, qu’il a reçu sur les trois dernières années de la part de la part de plus de 20 laboratoires pharmaceutiques différents « un total de 205 482 euros rien qu’en honoraires personnels, sachant que le montant indiqué est celui qu’il a encaissé, taxe déduites, soit une rémunération nette de 5708€ par mois… » Le président de la République s’emploie donc activement, au moment où, soi-disant, des réformes importantes pour moraliser le suivi des médicaments sont à l’ordre du jour, à verrouiller plus que jamais le système.
Le président Sarkozy lui-même doit beaucoup à Jacques Servier qu'il a apporté comme client lors de la création, avec des associés en 1987, de son cabinet d’avocats d’affaire. Lors de la création de ce type de société, la capacité à amener de gros clients est essentielle pour la constitution des parts. Servier qui est un chef d’entreprise autoritaire et paternaliste très marqué à droite a certainement souhaité, en soutenant professionnellement Sarkozy, aider à l’ascension d’un homme politique partageant ses idées et déjà maire de Neuilly-sur-Seine (où Servier était implanté), une ville clé d’un département traditionnellement classé à droite, parmi les plus riches de France. Le soutien politique est d’autant plus évident qu’on ne peut que s’interroger sur le travail d’avocat véritablement fourni par Sarkozy et ses compétences réelles dans ce domaine. Ses études universitaires ont été médiocres et il n’a guère du avoir le temps de compenser par le travail de ses dossiers ses carences initiales. Impliqué très tôt dans la politique, il était Maire d’une ville importante dès 1983, député à partir de 1988 (pour ne citer qu’une partie de ses mandats), tout en participant activement à la vie politique française…
Sarkozy, qui n’est pas passé par la haute administration publique contrairement à beaucoup d’autres hommes politiques français, est depuis longtemps, de par son milieu et son itinéraire politique et professionnel, en relation directe et étroite avec la grande bourgeoisie d’affaire française, dont il relaie les exigences avec zèle. Il n’est pas étonnant qu’à une période clé de la vie économique française, marquée par la mondialisation, et où la puissance de l’Etat devenait une entrave au développement de nouvelles formes du capitalisme financier, la carrière de Sarkozy ait été fortement soutenue par les milieux d’affaires.
Servier est un laboratoire français qui devait affronter des multinationales pharmaceutiques sensiblement plus puissantes que sa société, ce qui l’a amené à s’appuyer sur un réseau complexe de décideurs dans le domaine politique et de la santé pour réussir à imposer ses produits de façon prioritaire sur le marché français (lire "La face cachée de Servier"). Ce type de réseau est présent dans toutes les sociétés du secteur, mais le pays d’origine des sociétés et leur stratégie internationale fait qu’il est plus ou moins développé dans tel ou tel pays. Les péripéties entourant le Mediator surtout vendu en France illustre bien la pugnacité avec laquelle Servier réussissait à imposer ses produits.
Selon le Canard Enchaîné et le site Bakchich, Servier recrutait prioritairement pour ses services de sécurité chez les anciens des services de renseignement de l’Etat français afin de pouvoir plus facilement enquêter tant sur les futurs salariés que sur ceux en place et pour limiter l’implantation syndicale. Cela lui aurait aussi permis de mener des enquêtes sur des décideurs dans l’environnement concurrentiel et dans les autorités réglementaires. En 2000, un contrôle de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), resté sans suite judiciaire, avait mis à jour au laboratoire de Neuilly un fichier manuel contenant 50 000 fiches personnelles de candidats au recrutement avec des annotations portant entre autres sur les opinions politiques et syndicales, ce qui est normalement interdit. Cette influence multiforme de Servier sur l’ensemble des décideurs, maniant judicieusement la carotte appétissante et si nécessaire le bâton, explique comment les critères de santé publique ont pu devenir finalement un élément accessoire par rapport aux questions économiques lors des évaluations successives du Mediator.
Les relations entre Sarkozy et Servier ont connu leur apogée en juillet 2009 lorsque Sarkozy a nommé Jacques Servier grand-croix de la Légion d’honneur, le plus haut grade de cette médaille, distribuée chaque année à un tout petit nombre de hauts personnages triés sur le volet. On pourra lire sur huffingtonpost l'oraison adressée à cette occasion par Sarkozy à l'adresse de Saint Jacques Servier.
Bien évidemment malgré ses préférences droitières Servier a tissé des liens dans tous les partis. On a, par exemple évoqué le rôle de Henri Nallet, un hiérarque du Parti Socialiste, ancien ministre de l'ère Mitterand, dont le rôle a malencontreusement été mis en lumière à l'occasion de l'affaire du Mediator.
Jean-Yves Nau, qui a longtemps été journaliste santé au journal Le Monde où il se signalait par son navrant conformisme, a eu une plume un peu plus acérée pour peindre le personnage sur son blog :
« De juin 1997 à décembre 2008, l’ex-garde des Sceaux a été salarié des Laboratoires Servier. Il y a successivement été directeur chargé du développement international, directeur général (affaires extérieures et communication), directeur des affaires européennes de conseiller du président. Puis vint l’affaire du Mediator® . Affaire médicale, affaire statistique, affaire médiatique, affaire judiciaire.
« Les magistrats en charge de l’instruction ont découvert qu’il avait reçu [de juin 1997 à décembre 2008] une rémunération totale de 2,7 millions d’euros, soit 20 000 euros par mois, comme l’a rappelé le Figaro. Puis, de 2009 à avril 2013, il a été consultant du groupe Servier pour une rémunération totale de 812 000 euros, soit 15 600 euros par mois. En décembre 2013, au moment de son audition, Henri Nallet était toujours rémunéré par Servier : 110 000 euros hors taxes par an pour six jours de travail par mois » peut-on lire dans Libération. (...) S’étonner du niveau des rémunérations ? S’en indigner ? Dénoncer (dans
l’indifférence quasi générale) le pantouflage ? Se faire, au contraire, une raison ? Evoquer une prescription ? Dire que le temps a passé ? »
Dans la cadre de la République des copains et de l'affaire du Mediator où l'argent coule à flot, rien ne va sans une légion d'honneur et Henri Nallet a été, dans la promotion du 14 Juillet 2015, élevé commandeur de la Légion d’honneur, un des grades plus élevés.
Pour revenir aux réseaux de Sarkozy dans le domaine de la santé précisons que ceux-ci sont très loin de se limiter aux Laboratoires Servier. Les multinationales pharmaceutiques occupent une place de choix au sein de la Fondation de Coopération Scientifique sur la maladie d'Alzheimer dans le cadre du un plan national sur 5 ans sur la maladie d’Alzheimer voulu par Sarkozy. Le monde de l’assurance privée s’agite aussi beaucoup autour des assurances sur la dépendance de la personne âgée où Sarkozy bataille pour donner la place de choix au privé.
Les frères du président, François Sarkozy et Guillaume Sarkozy suivent de près les projets du président dans ce domaine. François Sarkozy dirige AEC Partners, une grosse société de conseil et stratégie pour l’industrie pharmaceutique et s’intéresse aussi aux médias pour personnes âgées. Guillaume Sarkozy a été un des dirigeants les plus importants du patronat français. A ce titre il a occupé des poste importants dans le secteur social et de la santé « cogéré » avec les syndicats, ce qui lui a donné une connaissance approfondie du secteur et lui a permis de nouer de nombreux contacts.
Le site Pharmacritique a montré comment le groupe Malakoff-Médéric, dirigé par Guillaume Sarkozy, a bénéficié de la fusion entre le Pôle emploi et les ASSEDIC en remportant les marchés liés à la "mutuelle obligatoire employeur" pour le Pôle Emploi et la Sécurité sociale soit 200.000 employés à doter en complémentaires obligatoires. Il a récidivé, « En janvier 2011, l'assureur aura 800.000 adhérents de plus … suite à la loi Fillon de 2003, puisque le personnel CHR (Cafés - Hôtellerie - Restauration) devra lui aussi avoir une assurance obligatoire "de branche", et que c'est toujours Malakoff-Médéric (ainsi que deux autres groupes) qui a raflé la mise ».
L’UMP du président Sarkozy est au cœur des processus de privatisation des secteurs publics de la santé et des assurances sociales au profit d’un capitalisme en déclin cherchant de nouvelles rentes prélevées sur les revenus du travail. Malgré l'importance du scandale sanitaire en cours, qui fait suite à de nombreuses autres affaires tout aussi graves, la bourgeoisie française au pouvoir et ses représentants politiques entend tout faire pour préserver au maximum les intérêts de l'industrie pharmaceutique et sa capacité à générer des profits record en rançonnant les systèmes d’assurance santé.
De plus tout cela se produit à un moment où, au niveau mondial, la bourgeoisie financière a décidé de mener une large privatisation du secteur de la santé et des assurances sociales pour financer la plus grave crise financière du capitalisme depuis les années 1930. C'est dans le contexte des coupes sociales féroces en cours (ou à venir dans le cas de la France) qu'il faut envisager les réformes qui nous attendent. Des coupes sauvages dans l'ensemble des acquis sociaux péniblement obtenus par la classe ouvrière internationale au cours de plus d'un siècle de dures luttes sociales vont être systématiquement remis en question. On imagine donc ce que peuvent valoir les projets de réforme et de moralisation du secteur de la santé qui sont annoncés, d’autant que les partis d’opposition de gauche sont tout autant parti prenante dans la sauvegarde à tout prix du capitalisme à l'agonie que les partis de droite. Ils souscrivent largement aux projets auxquels ils feignent de s'opposer. Il suffit d'observer le gouvernement socialiste à la manœuvre en ce moment en Grèce si on a le moindre doute à ce sujet.
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Créé le 26/06/11. Dernière modification le 22/10/16.