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Les compléments alimentaires, une nouvelle approche santé


Un mouvement d'origine américaine qui s'internationalise

Depuis un quart de siècle, la complémentation nutritionnelle, popularisée par des pionniers comme le prix Nobel Linus Pauling, connaît un développement fulgurant aux USA où elle est désormais pratiquée par des millions d'américains.

Ce mouvement concerne non seulement les malades, en particulier tous ceux qui sont atteints de maladies chroniques et dégénératives, mais aussi les biens portants qui, à l'approche de la quarantaine ou après une première alerte de santé, se préoccupent de bien vieillir, le mieux et le plus lentement possible de préférence ! Des sociétés médicales et d'autres organisations se sont créées pour défendre et promouvoir cette approche, et rencontrent un vif succès.

Il s'agit de promouvoir une nouvelle approche médicale, parfois appelée médecine orthomoléculaire (terme créé en 1968 par le double prix Nobel Linus Pauling), qui consiste en une médecine préventive et curative utilisant des nutriments où des métabolites présents dans le corps humain à des dosages destinés à optimiser le fonctionnement biologique et cellulaire. Les dosages sont adaptés selon l'âge et l'état de santé de la personne à un moment donné.

Alors que l'approche médicale pharmacologique traditionnelle utilise des médicaments qui présentent pour la plupart des effets secondaires non négligeables et qui se cumulent et se potentialisent souvent lorsque plusieurs médicaments sont utilisés simultanément, l'approche par les suppléments permet à l'opposé de renforcer les effets positifs et les synergies entre des produits judicieusement utilisés.

Le mouvement de la médecine orthomoléculaire s'internationalise et est désormais bien implanté en Europe.

Qu'appelle-t-on un complément alimentaire ?

Il s'agit en fait de produits très divers dont nous proposons une description qui n'est pas exhaustive :

Certains produits proches des produits alimentaires. Rentrent par exemple dans cette catégorie les algues comme la spiruline ou la chlorella, l'extrait de petit lait, des poudres réalisées à partir de légumes ou de céréales germées, de fruits riches en anti-oxydant, d'épices... Ces produits sont choisis en fonction de la qualité de leurs nutriments et de leur utilité pour le métabolisme. La forme de présentation, en tablette ou gélule, la concentration en certains produits actifs, peut les faire passer dans la catégorie du complément alimentaire stricto sensu.

Les corps gras. Là aussi il peut s'agir de produits alimentaires ou de compléments alimentaires suivant la présentation ou les transformations du produit.

Vient ensuite tout ce qui concerne la phytothérapie, où l'on retrouve la pharmacopée traditionnelle française, mais largement augmentée grâce aux recherches internationales sur les plantes. Il s'agit d'extraits de plantes pharmacologiquement actives et qui, a priori, ne sont pas des plantes alimentaires, même si de nombreux cas intermédiaires existent (épices comme le gingembre ou le curcuma par exemple). La présentation peut être en gélules, comprimés, poudre brute, extrait liquide, huile essentielle. Mises à part les huiles essentielles, concentrées par nature, les autres présentations peuvent reprendre la ou les parties actives de la plante en l'état ou effectuer une concentration en produits actifs. Par exemple une gélule de Ginkgo biloba, un protecteur vasculaire et cérébral, peut contenir de la poudre de feuille moulue (cas fréquent en France), produit sans efficacité démontrée. Mais si on veut que ce produit ait un dosage en sous-composants actifs comparable à celui des études cliniques ayant démontré une efficacité, il faudra effectuer une concentration de 50:1 (50g de feuilles pour obtenir 1g de produit actif). Il est important de bien saisir ces distinctions qui font que deux produits vendus à des prix souvent similaires peuvent ne pas avoir du tout le même intérêt ni, bien sûr, les mêmes effets.

Les vitamines, les acides aminés, les minéraux et oligo-éléments. Il peut s'agir de produits naturels ou de produits de synthèse. La quantité de vitamines disponibles dans les produits vitaminés est souvent extraordinairement variable. Dans les grandes surfaces françaises, par exemple, les compléments vitaminés sont le plus souvent dosés à des taux proche de l'apport journalier provenant de l'alimentation (AJR). Mis à part certains minéraux et vitamines qui ne doivent pas être surdosés, beaucoup de spécialistes considèrent les AJR comme une norme fondamentalement inadaptée aux objectifs de la supplémentation nutritionnelle. Aux USA les produits vitaminés ont presque toujours des dosages pharmacologiques, qui ne peuvent être atteints par l'alimentation, ce qui peut entraîner des dosages 10 à 20 fois supérieurs aux dosages français pour certaines vitamines ! La lecture attentive des étiquettes et des notions de base sur le rôle et le dosage des vitamines sont donc nécessaires.

Rappelons que les acides aminés sont les briques constitutives des protéines et que les oligo-éléments, comme le sélénium, présents en toute petite quantité dans le corps humain, ont un rôle clé dans de nombreux systèmes enzymatiques.

Les hormones comme la DHEA ou la mélatonine, pour ne citer que les plus connues.

Mais ils existent encore d'autres produits, certains sucres, des enzymes, des probiotiques...

A quoi ça sert ?

Les partisans de la complémentation estiment, en s'appuyant sur un très vaste ensemble de publications scientifiques, que les progrès attendus dans le domaine de la santé et de la longévité seront, pour une très large part, fondés sur les acquis actuels et à venir de la nutrition et de la supplémentation nutritionnelle et botanique. Ils estiment qu'il est impossible d'assurer à notre organisme, dans toutes les circonstances de la vie (enfance, adolescence, grossesse, allaitement, sport, stress, polution, maladie, vieillissement), les apports optimum nécessaires pour l'ensemble des nutriments par la seule pratique d'une diététique équilibrée. L'alimentation devrait être supplémentée régulièrement pour maintenir à un niveau maximal notre énergie, notre résistance au stress et nos défenses immunitaires, et pour réduire l'incidence des maladies aiguës et chroniques. Cette approche permettrait également de ralentir significativement le vieillissement.

Quel rapport avec l'alimentation proprement dite ?

En France, les nutritionnistes officiels qui monopolisent l'information dans les grands médias répètent à l'envie que seule une bonne nutrition compte et que la complémentation est, au mieux, inutile, au pire dangereuse. Cet argument d'autorité n'est évidemment jamais démontré ou s'appuie sur des études isolées et d'une méthodologie douteuse (études surmédiatisées que Gestion Santé dénonce régulièrement, lire par ex. Ces compléments alimentaires qui ne servent à rien - Les mises au point de Gestion Santé.

Le bon sens et une abondante littérature scientifique plaident en réalité pour une judicieuse complémentarité entre alimentation et complémentation.

On peut regrouper les arguments favorables à la complémentation dans plusieurs catégories :

Une alimentation, même bien équilibrée, utilisant les produits courants du commerce et des menus classiques situe les apports de nombreux nutriments, dans la limite moyenne ou inférieure des recommandations. De nombreuses études françaises et internationales montrent que des fractions considérables de la population (souvent 1/3 ou davantage) sont déficientes pour de nombreux nutriments essentiels (vitamines, minéraux), alors même que les AJR sont fixés à des niveaux relativement bas, situation critiquée par certains spécialistes.

Dans les expériences de restriction calorique chez l'animal qui entraînent chez tous les mammifères étudiés une augmentation spectaculaire de la longévité, les animaux doivent obligatoirement avoir une alimentation complémentée en plusieurs nutriments essentiels.

Diverses études montrent que de nombreux systèmes enzymatiques de l'organisme ont un fonctionnement optimisé pour des apports élevés en minéraux et vitamines et, de façon surprenante, à des niveaux parfois inatteignables par la seule alimentation. (Cf. notre exemple à propos de la vitamine B1).

Un apport élevé en différents nutriments protège et optimise le fonctionnement d'organes clé ayant une forte affinité pour eux...

Raisonner par étages d'intervention

La meilleure approche semble donc consister à raisonner par "étages d'intervention". Comme pour la construction d'un bâtiment, la base serait constituée par la nutrition, indispensable pour construire l'étage de la complémentation nutritionnelle. La complémentation nutritionnelle ne se surajoute pas anarchiquement à l'alimentation, elle complète une nutrition bien pensée. Sans cela, l'intérêt de la complémentation sera beaucoup plus limité. Il faut souligner que les revues et les livres qui traitent de la complémentation nutritionnelle figurent parmi les meilleurs vecteurs de diffusion des bonnes pratiques alimentaires.

Certains théoriciens de la complémentation proposent également de regrouper la supplémentation hormonale ou la prise de certains médicaments spécifiques ayant démontré un effet antivieillissement dans un "3e étage" supposant la mise en place des deux premiers étages.

Pour donner un exemple, on a vu proposer chez l'adulte des traitements stimulant à l'hormone de croissance (aux USA ou même en Europe), traitement typiquement de la 3e catégorie. Or ce traitement extrèmement coûteux et pas dénué d'effets secondaires à risque, n'est plus forcément nécessaire si les 2 premiers étages sont correctement traités car ils permettent de rétablir un fonctionnement hormonal harmonieux (par exemple certains acides aminés stimulent fortement la libération d'hormone de croissance). Au demeurant, dans le cadre du "3e étage", il faudrait commencer par utiliser d'autres hormones dont l'innocuité est bien mieux établie (et qui sont infiniment moins chères) comme la DHEA, la testostérone et la mélatonine, dont on peut être sur que le niveau n'est pas optimum si le niveau d'hormones de croissance est insuffisant...

Il va de soi que ce raisonnement hiérarchique par étages d'interventions devrait être à la base du traitement de l'ensemble des maladies. C'est-à-dire qu'avant d'utiliser une approche pharmacologique lourde, il faudrait analyser et optimiser l'alimentation et mettre en place une supplémentation nutritionnelle. Simultanément ou postérieurement et au vu des résultats enregistrés la médecine classique aurait à intervenir.

Or nous en sommes très loin. Par exemple, dans les maladies cardiovasculaires où le traitement médicamenteux est censé être instauré après échec du régime approprié (selon l'autorisation de mise sur le marché de ces produits), l'intégration d'un régime adapté dans les habitudes de vie du malade n'est sérieusement envisagée que par une toute petite minorité des médecins, ce qu'a confirmé plusieurs études de terrain (Gestion Santé a traité en détail de la place de la nutrition dans les maladies cardiovasculaires). Au demeurant les régles diététiques encore le plus souvent conseillées aux médecins par leurs pairs (régimes pauvres en graisse et en cholestérol) sont totalement périmées sur le plan scientifique, puisque le régime approprié pour ces malades, validé scientifiquement depuis de nombreuses années, est une adaptation du régime méditerranéen, pas particulièrement pauvre en graisse ! On imagine au vu d'une telle ignorance dans le domaine de la nutrition, l'état de l'art et la pertinence des avis médicaux dans le domaine des compléments alimentaires...

Bien entendu, d'autres éléments du style de vie comme l'activité physique, des ressources économiques et un logement décent et la possibilité d'avoir une vie enrichissante et équilibrée sont aussi des facteurs déterminants qui favorisent la bonne santé et la longévité.

Une complémentation au long cours et une autoformation indispensable

La spécificité de la complémentation nutritionnelle, qui la distingue d'autres approches utilisant les mêmes produits, est d'être une intervention permanente, semi-permanente ou alternée selon les types de produits, l'âge, l'état de santé... Cela suppose donc la prise de suppléments tous les jours, voire idéalement à tous les repas, ce qui est une contrainte importante et va à l'encontre des habitudes culturelles française, bien qu'ils soient par ailleurs surconsommateurs chroniques de médicaments ! C'est pourquoi la complémentation commence rarement avant quarante ans ou en l'absence de problèmes de santé créant une motivation suffisante pour initier la complémentation.

Les personnes qui s'intéressent à la complémentation nutritionnelle sont souvent des autoditactes qui approfondissent régulièrement leurs connaissances. C'est sans doute une des médecine qui repose le plus sur les connaissances de la personne qui l'utilise.

Souvent les personnes qui utilisent les suppléments nutritionnels ont commencé par s'intéresser à un produit très connu, comme la vitamine C par exemple, puis ont étendu leurs connaissances à d'autres vitamines, puis aux acides aminés dont le cycle est optimisé par les vitamines et ainsi de suite. De fil en aiguille, on peut en apprendre beaucoup dans le domaine de la biologie et de la physiologie, en particulier si on lit l'anglais et si l'on se donne la peine de parcourir attentivement les revues, souvent de grande qualité disponibles en ligne sur Internet et traitant de la supplémentation nutritionnelle. Les utilisateurs de suppléments souhaitent bien connaître le mode d'action de produits qu'ils peuvent prendre sur une longue durée, disposer de produits d'une qualité irréprochable, définir une hiérarchie et des priorités, articuler la complémentation à la nutrition, l'adapter à un problème de santé particulier.

Il y a là tous les éléments propices à une éducation à la santé d'une fraction du public par le biais des suppléments à condition d'instaurer un dialogue positif avec le milieu médical et les autorités de santé qui malheureusement fait très largement défaut (c'est un euphémisme !) puisque les personnes qui se supplémentent sont quasiment traités, mis à part une petite frange éclairée du milieu médical, comme des demeurés par les autorités de santé.

Le multicomplément est la clé de voûte incontournable d'une complémentation prise au sérieux

Dans l'architecture rationnelle et raisonnée de l'alimentation et de la complémentation, le multicomplément a pour nous une importance décisive. En effet, prendre de trop nombreux compléments peut vite constituer un problème, car cela devient difficile à avaler et à digérer, et il est donc fondamental de disposer de produits "tout en un" bien conçus, limitant au maximum enveloppes et excipients, dont la prise peut être répartie sur les trois repas quotidients et qui apporte de nombreux nutriments sous une forme aisément digestible. On peut ensuite ajouter à ce multicomplément de base d'autres compléments judicieusement choisis.

Les critères d'évaluation d'un multicomplément selon Gestion Santé

Les critères clés, pronés par Gestion Santé, pour une évaluation rationnelle de ce type de produit, sont les suivants :

- le grand nombre de constituants utiles dans un volume raisonnable,
- la formulation chimique sous laquelle les constituants sont apportés (sels sélectionnés pour les minéraux et oligoélements, apport sous forme de coenzymes pour certaines vitamines, titrage en constituants actifs pour les plantes,....), qui doit correspondre aux dernières connaissances sur l'assimilabilité et l'efficacité biochimique des constituants,
- absence de constituants nuisibles ou présentés sous une forme chimique inadéquate (aspect complémentaire du précédent),
- dosages adéquats : pas de sous dosage (efficacité), ce qui oblige à reprendre le constituant via un autre complément, ni de surdosage (respect des limites de sécurité fondées sur des données scientifiques validées et non des apriori ou des règles bureaucratiques ineptes).

Nous avons discuté cette question en détail à partir de l'évaluation d'un multicomplément américain très connu.

Le problème du coût et de l'accès aux produits

La complémentation pour être efficace suppose l'utilisation d'une panoplie de produits agissant en synergie, organisée comme nous le recommandons autour du multicomplément, ce qui pose la question du coût pour de nombreux consommateurs pas nécessairement fortunés et qui disposent d'un budget limité. Or la politique irresponsable des pouvoirs publics français et européens, qui cherchent délibérément à étrangler le marché des suppléments nutritionnels, par ignorance, mais aussi parce qu'il concurrence de plus en plus vigoureusement le marché de l'industrie pharmaceutique (dont les intérêts sont relayés par de très puissants groupes de pression politiques et institutionnels), aboutit au résultat désastreux de prix démesurément élevés par rapport aux marché de référence des USA (souvent, et sans exagération, jusqu'à trois plus chers pour de nombreux produits !).

C'est pourquoi Gestion Santé a créé une page pour faciliter vos achats aux meilleurs prix, rubrique Fournisseurs qui, sans chercher l'exhaustivité, présente différents fournisseurs français européens ou aux USA. Notre autre page, "Liste des compléments les plus utiles" présente les compléments les plus utiles susceptibles d'être ajoutés au multicomplément de base que nous recommandons.

Une approche raisonnée

Les personnes pratiquant la complémentation nutritionnelle ne cherchent pas le produit miracle, mais l'utilisation d'une gamme de produits agissant en synergie, même s'il existe une "actualité produit" dans le monde de la complémentation, toujours en évolution.

La fascination, mêlée d'inquiétude, des français pour un produit comme la DHEA (à l'époque de la première version de cet article en 2001), qui est certes un produit intéressant, est très révélatrice de la désinformation chronique sur les compléments alimentaires qui règne dans notre pays (cela n'a d'ailleurs pas changé à la date de la dernière version de cet article en 2014 !). A l'occasion d'une étude du Dr Beaulieu, la censure a été très partiellement levée sur un produit particulier parmi des centaines d'autres souvent tout aussi intéressants. On aboutit ainsi à une fascination puérile du public sur un produit et à un traitement manichéen du sujet par les médias, ce qui permet de laisser dans l'ombre la question des compléments alimentaires dans leur ensemble, dans le cadre duquel devrait être traité la question de la DHEA.

Enfin, les consommateurs de compléments nutritionnels sont aussi à la recherche de médecins formés à cette approche, avec qui dialoguer de façon ouverte et constructive. Le médecin pourrait notamment utiliser son savoir faire diagnostic et clinique et sa maîtrise d'une panoplie d'examens pour adapter la complémentation à un problème de santé particulier dont il pourrait aider à saisir les causes et l'évolution. Il pourrait conseiller une supplémentation ou discuter celle déjà en place pour la valider, la compléter, la corriger ou la réorienter. Cela suppose pour le médecin d'accepter l'expertise du malade et de dialoguer avec lui, malade et médecin devant apprendre à trouver de nouveaux rôles complémentaires. Il faudrait également définir plus précisément la place à donner à toute une série de professionnels non médecins qui pourraient avoir un rôle de conseil et de pédagogie dans le domaine de la nutrition et des suppléments nutritionnels.

Passionnantes perspectives mais qui demanderaient, entre autre, de réviser la formation des médecins, de définir et de légaliser le rôle des professionnels de santé non médecin, etc. toutes choses dont nous sommes bien loin dans une France frileuse, figée, où les groupes de de pression font la loi (souvent au sens propre du terme) et où la désinformation est la règle dans l'exposé de très nombreux problèmes de santé, pour n'évoquer que ce seul secteur de la vie sociale.

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Créé le 04/01/01. Dernière modification le 12/02/13.