Gestion Santé

Retourner à la liste des sujets traités.

Gestion Santé : Depuis 15 ans une information indépendante et sans conflit d'intérêt au service de votre santé

Faire une recherche Google sur Gestion Santé    Pour être tenu au courant des mises à jour : envoyez une demande par mail à gestionsante@gmail.com et lire nos billets sur google+

Journal de bord de novembre 2007

 

Faute de temps pour écrire des pages longues, structurées et relativement exhaustives sur tel ou tel sujet, je laissais souvent passer sans les commenter ou les citer une multitude d'excellents articles sur Internet ou dans des revues, sans parler de livres que j'ai lu et sur lesquels je souhaiterais attirer l'attention ou faire quelques commentaires utiles pour le lecteur de ce site. D'où cette nouvelle rubrique "Journal de bord" que j'ai lancé à la fin novembre 2005. La santé sera comme d'habitude le principal sujet traité ici, mais pas le seul, mes intérêts dépassant souvent ce domaine. Comme pour les autres dossiers traités ailleurs sur le site j'espère pouvoir apporter des informations intéressantes et souvent difficilement accessibles au non spécialiste et tout cela sur un ton plaisant si possible ! Bonne lecture...

Journal en cours

Journal de bord de Jacques Valentin Archives : - 12/16 - 04/16- 07/14 - 05/14 - 04/14 - 01/14 - 12/13 - 11/13 - 10/13 - 09/13 - 08/13 - 07/13 - 05/13 - 12/12 au 0313 - 08/12 - 06/12 - 04/12 - 03/12 - 02/12 - 01/12 - 11/11 - 10/11 - 09/11 - 08 et 06/11 - 02/11 - 12/10 - 10/10 - 09/10 - 05/10 - 03 et 04/10 - 02/10 - 01/10 - 12/09 - 11/09 - 04/09 - 01/09 - 10/08 - 08/08 - 04/08 - 11/07 - 09/07 - 05 et 06/07 - 04/07 - 03/07 - 02/07 - 01/07 - 12/06 - 11/06 - 10/06 - 09/06 - 08/06 -07/06 - 06/06 - 05/06 - 04/06 - 03/06 -02/06 - 01/06 - 12/05 - 11/05 -

Novembre 2007 (et le Journal des 30 derniers jours) : - 20/11 - Le blog de Jean Baubérot - 18/11 - Psychothérapie et santé mentale - 11/11 - Une étude impressionnante (coordonnée par Pierre Boutouyrie de l'INSERM) sur les effets de la pollution athmosphérique - 02/11 - Martin Winckler et la publicité sur le vaccin contre le papillomavirus (HPV) -

20 Novembre 2007 : Le blog de Jean Baubérot

Ce blog d'un universitaire spécialisé dans le domaine de la laïcité fait partie de mes sites d'informations recommandés. Je l'ai aussi donné en lien dans mon article sur la psychothérapie comme une source utile d'information sur la question d'une laïcité ouverte et sur les rapports laïcité et médecine. En effet dans notre travail sur les questions liées à la réglementation des psychothérapies nous nous étions penché sur les raisons de l'hostilité tenace et virulente de l'institution médicale à l'égard des psychothérapeutes non médecins ou non psychologues (ces derniers étant "tolérés" depuis peu par les médecins pourvu qu'ils leurs soient subordonnés) étiquetés charlatan par défaut même s'ils ont suivi des cursus de formation de qualité. Il se trouve que Jean Baubérot donnait de ce phénomène des explications socio-historiques qui complétaient très utilement les notres.

Pour ceux qui ont un peu de temps et pour ceux qui s'intéressent à l'histoire de la société et de la laïcité et aux rapports société - médecine, son blog est une source d'informations riches et utiles et que l'on ne trouve pas ailleurs sur le Web (il faut consulter des ouvrages spécialisés). C'est parfois un peu feuilletonesque et manque un peu d'analyses de fond à mon goût, mais cela apporte matière à réflexion.

Ainsi on peut lire dans son billet du 01/11/07, dans la 2e moitié du billet, à partir du passage "Je reprends donc: Dans les années 1970, Ivan Illich...", [Il s'agit d'une suite dans une série de billets consacrés depuis cet été aux rapports société - médecine - mort, tels qu'ils se sont noués depuis la Révolution française.] une intéressante analyse de l'ouvrage de Ivan Illich, Némésis médicale [ouvrage qui je l'avoue fait partie des livres... qui sont sur l'interminable liste des livres que je dois lire... un jour] . Ivan Illich a proposé sur la base des apports de l'anthropologie des années 60-70 une approche profondément révolutionnaire de la santé et de l'éducation.

Illich dénonce la nature religieuse de l'emprise de la médecine sur la société que Baubérot résume ainsi : "Illich prône la séparation de la médecine et de l’Etat (sur le modèle de la séparation de la religion et de l’Etat). Il souhaite que l’Etat donne un statut égal à la médecine officielle et aux médecines alternatives. Selon lui, cela favorisera la « démédicalisation de la société » qu’il appelle de ses vœux ; de même la reconnaissance par l’Etat de doctrines religieuses concurrentes a contribué à une laïcisation de la vie sociale." Baubérot évoque ensuite (de façon il est vrai un peu décousue) les réactions aux écrits de Illich et certaines évolutions sociales qui ont suivi et qui sont en rapport avec l'évolution des mentalités, des pratiques sociales et des lois en rapport avec le thème qui l'intéresse (les rapports société - médecine - mort).

Baubérot évoque ainsi le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) de 1983 "tournant important voulu par un président de la République socialiste, François Mitterrand. Il semble significatif que la France qui, la première, a institué l’exercice illégal de la médecine en 1803, instaure la première, à un niveau national, un tel Comité qui manifeste que la médecine n’est plus seule créatrice de son propre sens. Elle doit partager la construction de ce sens, et les interrogations que sa réussite même provoque, avec le reste de la société." Baubérot rappelle que "Dans le CCNE, à côté de médecins, de chercheurs, de juristes, d’anthropologues, de sociologues et de personnalités politiques et civiques, on trouve des représentants des « principales familles philosophiques et spirituelles ».

Bien que Baubérot conseille de ne pas idéaliser le CCNE son analyse des carences de celle-ci est bien courte. Nous mêmes avons évoqué le CCNE de façon autrement virulente dans "Au pays de Tartuffe : la vaccination contre le BCG et l'avis du Comité Consultatif National d'Ethique". Il est vrai que nous évoquions le CCNE de 2006 et non celui de 1983, mais le ver était selon nous dans le fruit (approche scientiste - manque d'une véritable réflexion anthropologique sur le rapport société - médecine auquel se substitue un bricolage hétéroclite et opportuniste issu de domaines divers du savoir).

A propos de l'analyse d'un cas particulier d'avis du CCNE nous proposions une analyse plus générale du CCNE : "Finalement le CCNE produit une éthique à la fois désincarnée et étonnamment éloignée des problèmes concrets de l'humain et de plus intellectuellement fort médiocre. On en est réduit à entendre quelques poncifs bien pensants plaqués sur une problématique par rapport à laquelle le CCNE est incapable de proposer des outils d'analyse pertinents et convaincants et qu'il effleure seulement selon diverses approches peu cohérentes entre elles. Il en résulte que les recommandations finales du CCNE ont avec le brouillon d'analyse qui les précède les rapports les plus vagues, qui laissent le lecteur pour le moins dubitatif et perplexe.

L'éthique à la française a été instituée dans les années 80 et était dès le départ conçue comme un emplâtre masquant mal les problèmes sérieux et variés posés par la médecine contemporaine par exemple l'emprise du système médico-industriel, la formation médicale, le poids des hiérarchies médicales, l'absence de véritable politique de santé publique, les oeillères idéologiques, et toutes sortes d'autres problèmes que les pouvoirs publics s'efforcent de ne jamais examiner frontalement. Il s'agissait d'instituer des espaces de liberté et de déontologie pour les soignés et les soignants face à des abus flagrants et de moins en moins acceptés, mais sans toucher au fond des problèmes.

Malgré tout, jusqu'à une date récente, les avis conservaient une certaine tenue et les décisions pouvaient en imposer et avoir un certain effet. Mais il semble que depuis quelques années les réseaux de pouvoir traditionnels du monde médical reprennent le dessus, que la qualité du recrutement dans ce type d'instance ait beaucoup baissé (je n'ose dire qu'il s'est effondré, ce serait généraliser trop hâtivement en partant de l'exemple désolant que nous examinons ici) et que les avis fournis en pâtissent en conséquence."

Selon nous, ce sont les réseaux de pouvoir et d'influence dérivés du libéralisme capitaliste qui font que la révolution anthropologique des années 60-70 s'est désagrégée faute d'être reprise dans un projet politique cohérent qui n'aurait pu être il est vrai que socialiste et révolutionnaire, lequel n'était pas disponible à l'époque compte tenu de la faillite du communisme soviétique de l'époque. C'est pourquoi les travaux de Ivan Illich et d'autres auteurs sont classés dans la catégorie poubelle des utopies...

Bon, ce billet du du 01/11/07 de Jean Baubérot est loin d'être le meilleur de la série, mais cela nous paraît important d'expliquer de temps à autre pourquoi nous conseillons certains sites. De plus le billet en question croisait à travers le cas de Ivan Illich notre intérêt pour l'anthropologie des années 60-70 et il évoquait aussi la question du Comité consultatif national d’éthique auquel nous nous étions également intéressés en 2006.

A l'occasion nous nous replongerons dans les billets de Jean Baubérot sur l'histoire de la médecine pour les conseiller aux lecteurs de Gestion Santé.

18 Novembre 2007 : Psychothérapie et santé mentale

Dans un document de 2003 sur la réglementation de la psychothérapie, je consacrais un passage à l'analyse critique d'un rapport de 2003 sur Le plan d'actions psychiatrie et santé mentale " de Philippe CLERY-MELIN, Vivianne KOVESS, Jean-Charles PASCAL. Je disais beaucoup de mal de cette approche de la psychiatrie ultra conservatrice à la française lorsqu'elle s'occupe de la santé mentale.

Ce document a notamment servi (dans une mesure relativement limitée heureusement) à alimenter le plan Plan psychiatrie - Santé mentale 2005-2008 qui fait ces temps dernier l'objet d'un rapport d'étape du ministère de la santé. Le plan psychiatrie et santé mentale est surtout un plan de modernisation de la psychiatrie hospitalière (bâtiments et personnels) et vise à une meilleure prise en charge des malades les plus gravement atteints ou les plus vulnérables (lire notamment ce rapport p. 16/27) nécessitant une prise en charge spécifique. Il est probable que ces seuls développements vont absorber l'essentiel des ressources humaines disponibles dans le domaine institutionnel hospitalier et extra hospitalier.

Le plan prévoit aussi le lancement d'une importante prise en charge de la dépression en 2008 dont on voit mal comment le volet psychothérapie pourra être pris en charge par un personnel compétent compte tenu de la saturation déjà complète des dispositifs institutionnels existants.

Le document précité du ministère de la santé propose certes une approche humaniste de la psychothérapie très éloignée des vaticinations récentes de l'INSERM et consorts puisque selon ce document, "Il existe différentes méthodes de psychothérapie mais elles sont avant tout fondées sur un échange de personne à personne qui s’instaure grâce à l’écoute, la bienveillance, l’absence de jugement et la compréhension du patient. L’objectif de cette relation est de permettre l’expression de ce que le patient vit, ressent et pense en toute liberté, sans crainte d’être jugé ou critiqué."

Néanmoins le dispositif prévoit de façon très artificielle (ibid. p. 23-24) le médecin comme seul point d'entrée et indique que "Le médecin peut avoir recours à deux types de prise en charge de l'épisode dépressif : la psychothérapie et les traitements médicamenteux qui peuvent être utilisés seuls ou conjointement, en fonction de l’intensité de la maladie." La psychothérapie "est proposée par des professionnels (psychiatres, psychologues…) qui ont reçu une formation adaptée."

On ne sait pas trop ce que recouvre les points de suspension, mais ils expriment probablement un malaise et le refus de citer les nombreux psychothérapeutes qui en France ne sont ni médecins, ni psychologues et qui ont néanmoins une formation approfondie en psychothérapie. Leur escamotage est particulièrement nuisible à la cohérence de la politique de santé publique en matière de psychothérapie et constitue une spécificité française.

A noter que le document du ministère qui se veut un guide à destination du grand public "La dépression - En savoir plus pour en sortir" procède au même escamotage des psychothérapeutes non médecin ou psychologue ( lire la section Qui et où consulter p. 47-58). Ce déni et cet escamotage d'un réel qui concerne de nombreux dépressifs (et leur entourage) susceptibles de s'adresser à un psychothérapeute est tout de même extrêmement préoccupant.

C'est dans ce contexte que PsY en mouvement, dont nous avons déjà évoqué l'action, qui nous paraît très constructive, s'est réintroduit dans le débat d'autant que la ministre a annoncé à l'occasion de la présentation du bilan du programme de santé mentale que la parution d'un décret sur le statut de psychothérapeute était de nouveau d'actualité. La question est d'importance car la rédaction de ce décret si elle n'est pas libérale risque d'interdire d'exercice de nombreux professionnels compétents et de bloquer la formation des futurs professionnels du secteur.

Fort logiquement Psy en mouvement lie dans une lettre ouverte à la ministre la question du Plan Santé Mentale et la réglementation du titre de Psychothérapeute : "Vous n’êtes pas sans savoir que les médecins généralistes qui sont les premiers interlocuteurs des personnes souffrantes, savent prescrire des médicaments antidépresseurs et anxiolytiques, mais lorsqu’il s’agit de prescription de psychothérapies de soutien ou de traitement en dehors de l’hôpital, ils ne savent pas toujours comment, ni vers quel professionnel orienter leurs patients, soit parce que les psychiatres de secteur ainsi que les CMP et les services de psychiatrie sont débordés, soit parce que les psychologues ne sont pas nécessairement tous formés à la psychothérapie."

La position du médecin traitant est replacée à sa juste place, complexe, ambigüe et délicate, et pour laquelle il est mal formé, et il n'est plus le démiurge du Plan Santé Mentale qui nous présente la fiction d'un médecin capable d'orienter et de coordonner de façon fluide et complètement rationnelle la prise en charge médicamenteuse et l'orientation vers le psychothérapeute.

PsY en mouvement estime donc fort logiquement que les psychothérapeutes "sont donc naturellement en capacité de se mobiliser aux côtés de l’ensemble des acteurs de soins psychiques, et trouver ainsi leur juste place dans les différents axes envisagés par votre ministère. Nous sommes persuadé qu’une réelle avancée en matière de santé mentale pourra être réalisée si l’on favorisait de meilleures communications et formations transverses entre les médecins généralistes, médecins psychiatres et psychothérapeutes pour une meilleure prise en charge des souffrances psychiques de nos concitoyens."

Encore faut-il que leur statut d'exercice soit défini de façon adéquate et que soit levée la condamnation que l'étroite faction la plus conservatrice de l'establisment médical et psychiatrique fait peser depuis 20 ans sur les psychothérapeutes qui ne sont ni médecins ni titulaires d'un DESS ou d'un master de psychologie.

11 Novembre 2007 : Une étude impressionnante (coordonnée par Pierre Boutouyrie de l'INSERM) sur les effets de la pollution athmosphérique

L'INSERM a publié un point presse très intéressant sur les effets de la pollution sur les paroies du système vasculaire. "Deux grandes caractéristiques ont été mesurées : la vasodilatation (c'est-à dire la capacité qu’ont les vaisseaux à se dilater ou à se contracter en fonction du débit sanguin) et l’altération physique de la paroi endothéliale."

Je dois dire que j'ai été impressionné par la puissance de l'effet néfaste sur la population sélectionnée pour l'étude qui est constituée par des hommes jeunes et en bonne santé, non fumeur (actif ou passif) "puisque la fonction endothéliale baisse de moitié entre le jour le moins pollué et le jour le plus pollué de l'année. Les valeurs des jours les plus pollués correspondent à la fonction endothéliale habituellement observés chez des malades atteints d'insuffisance cardiaque, d'hypercholestérolémie familiale ou de diabète. [mon souligné]"

Je rappelle que j'ai traité sur Gestion Santé (billet du 9/05/06) de façon approfondie de l'arginine qui est un précurseur de l'oxyde nitrique (NO). Cette molécule simple est critique pour la dilatation des vaisseaux sanguins et pour aider à la régulation de la pression sanguine et par conséquent à la circulation sanguine. J'évoquais à cette occasion divers nutriments utiles à la bonne santé du tissu endothélial.

Précisons toutefois qu'en cas de stress oxydatif intense comme lors des jours de grandes pollution, l'effet de certains antioxydants peut-être annulé voire inversé. Dans ces cas la vitamine C reste le grand gardien de l'équilibre oxydatif de l'organisme. Elle peut être oxydée en masse pour recycler les autres antioxydant et neutraliser de nombreux produits oxydants sans que cela soit dommageable pour l'organisme (cf. notre page sur la vitamine C).

2 Novembre 2007 : Martin Winckler et la publicité sur le vaccin contre le papillomavirus (HPV)

Les personnes qui regardent encore la télé auront remarqué la pub destinée à sensibiliser à la prévention contre le cancer du col de l’utérus transmis par "le" [sic] papillomavirus (il en existe en réalité une multitude de formes différentesde ces virus). La pub fait défiler de multiples logo difficiles à identifier et a des airs de communication institutionnelle étatique, ce qu'elle n'est pas en réalité (même si le vaccin est remboursé et recommandé pour certaines populations, voir ci-dessous).

Martin Winckler a fait une bonne mise au point très critique sur cette publicité ainsi que sur le risque de cancer de l'utérus, les papillomavirus et le vaccin, que je vous conseille de lire. Le bilan qu'il fait est très défavorable par rapport à la vaccination proposée. Je partage son avis et c'est pourquoi je conseille la lecture de son texte étant donné qu'il existe peu de texte critique sur le sujet en langue française.

On regrettera juste que Martin Winckler ne commente pas le fait que le vaccin soit remboursé et qu'il ait été ajouté aux recommandations vaccinales officielles. Si Martin Winckler souligne à juste titre les incertitudes sur la durée de protection qu'apporte les vaccin et les incertitudes sur les risques possibles à long terme de la vaccination, on aurait aimé avoir un bilan des effets secondaires déjà recensés et qui ne semblent pas négligeables au vu de ce que je peux lire sur les sites de langue anglaise.

Mais c'est déjà un très bon début pour s'informer sur le sujet.

Je profite de l'occasion pour rappeler que Bernard Guennebaud dont j'ai mis en ligne plusieurs articles sur le BCG a aussi un excellent site plus général sur la question des vaccinations.

Retourner à la liste des sujets traités.

Ce site est administré par Jacques Valentin. Tous les articles présentés ici ont pour but de vous inciter à une réflexion ouverte et critique. Je ne suis pas professionnel de santé. Les articles présentant des médicaments, des compléments alimentaires, des aliments, des techniques de bien être et de santé n'ont pas pour but de vous inciter à les utiliser ou à les consommer, ni de se substituer à un avis médical autorisé! Les informations disponibles sur le site peuvent comporter des erreurs, des lacunes ou des omissions et ne visent pas à l'exhaustivité; merci d'en tenir compte lors de votre lecture. D'une façon générale, je ne peux que vous inciter à vous documenter, à prendre plusieurs avis et à faire preuve de retenue et de bon sens que ce soit en matière de médecine traditionnelle ou alternative et plus largement pour tout ce qui concerne la gestion de votre santé.

Contenu sous copyright © 2001 Jacques Valentin (ou autres auteurs suivant indications). Tous droits réservés. Aucune portion de ce site Web ne peut être copiée ou reproduite sans permission expresse. Questions et commentaires sont à adresser à gestionsante@gmail.com

Créé le 01/11/07. Dernière modification le 20/11/07.